En considérant l’archétype humain, nous pouvons comprendre une grande partie des facteurs qui nous ont mené à une crise puis au chaos humain. Sans nuance et dans une vue globale, relevons certaines composantes.
D’abord, nous pourrions affirmer que le féminin n’est plus à la mode, supplanté par le féminisme qui a présenté son objectif: la femme doit devenir l’égal de l’homme… quitte à abandonner sa nature profonde et y perdre ainsi son essence. Dans ce combat sans fin, il n’y a plus d’harmonie et l’ensemble est touché, souvent menacé. Une belle carrière et une autonomie financière seront suffisantes pour appuyer sa libération. Jusqu’au moment où il sera trop tard pour penser à un enfant.
Quant au masculin, lui aussi n’est plus à la mode. Il a d’abord perdu une part importante de sa mission en se faisant stériliser pour ne plus porter la semence. De plus, ses rôles de gardien de l’œuvre, de garant de la cohésion du groupe ne tiennent plus guère la route étant assumés à plusieurs niveaux. Il y a pire lorsque la propagande en fait un élément toxique, un abuseur systémique, un élément inutile dans la société. Pour tout cela, il est difficile de se trouver une raison d’être.
Quant aux enfants, ils se font de plus en plus rares. Et leur itinéraire ressemble davantage à un parcours du guerrier. Pour arriver à un âge adulte, il doit éviter l’avortement, l’abus d’un parent ou d’un proche, l’avilissement d’un pédophile et de son réseau, la garderie et ses premiers conditionnements au plus tôt possible et en rupture avec le milieu familial, le scolaire et son formatage social… tous les autres conditionnements qui vont encombrer sa route comme des mines antipersonnelles. Par le discours à la mode, son genre ne serait même plus assuré. À la fin, en bannissant la primauté parentale, l’État pourrait se substituer aux parents pour assurer l’éducation de leurs enfants sous l’égide de la DPJ.
Quant aux personnes âgées, elles ont cessé pour plusieurs d’être des bibliothèques vivantes. Leurs histoires ne sont plus à la mode et on les transporte ‘’volontairement’’ vers des milieux qu’on juge plus adaptés pour eux. Elles sont comme à l’hôtel: leur sécurité et leur entretien sont assurés, leurs repas préparés, leurs divertissements à portée de main, leur médication surveillée.
Comme vous voyez, on assiste à un réel sabotage de l’archétype humain. On est témoin mais aussi acteur de ce saccage, consciemment ou non. Les principales cibles en sont le féminin et l’enfant car c’est la voie sûre pour empêcher la pérennité de l’espèce humaine, pour détruire la créature de Dieu ou des dieux. Mais la destruction est plus complète encore en s’attaquant à la terre, aux océans, à l’air et au climat.
Mais, que nous reste-t-il ? Revenir au processus de création lui-même. Selon les écrits anciens et sacrés, pour qu’il y ait incarnation dans la matière, il faut que les grilles (modèles) éthériques s’harmonisent avec les grilles physiques selon une intention précise. Or, par la pollution tout azimuth (physique, affective, sociale, spirituelle) on nous a coupé des contacts sains avec notre corps éthérique et, de là, avec notre âme. Par la manipulation génétique, les injections expérimentales faussement présentées comme des vaccins, les maniements sur les champs électro-magnétiques, on a touché plusieurs grilles physiques. Enfin, dans l’intention de plusieurs, le progrès ne peut s’arrêter et va conduire à une société post-humaine où le réel n’existera plus qu’au profit du virtuel.
En somme, nous assistons et sommes victimes de véritables ethnocides. En nous imposant de nouvelles valeurs, de nouvelles croyances, les leurs, les “élites” veulent détruire notre territoire intérieur. En même temps, ils veulent modifier ou détruire notre corps physique actuel par des ajouts, et faisant ainsi de nous des OGM. Il y a aussi ces ‘’crimes parfaits’’ présentés comme des vaccins.
Face à ce carnage, et contre leurs attentes, il faut nous référer aux peuples et réaliser leur capacité de résilience, leur véritable renaissance. Voir le texte à suivre sur le sujet.
Le Fou Du Village