Dans cette guerre silencieuse venue de nulle part mais préparée depuis des lunes, il est difficile d’identifier un réel ennemi tant il y en a. Pas de bruit apparent, pas de destructions visibles, juste un chaos ressenti mais pas de tout le monde. Le réel quotidien glisse vers un virtuel omniprésent, la liberté de chacun se profile en un esclavage inconnu mais consenti. Dans ce brouillard clair-obscur, l’humanité se dissout au point de n’être plus elle-même.
Le résultat final se profile déjà. Une scissure s’entrevoit à plusieurs niveaux: nature de plus en plus agressée, nourriture de plus en plus empoisonnée, santé de plus en plus précaire, sociétés de plus en plus sabotées, bris du lien humain, drogues de toutes sortes, prescrites ou clandestines, omniprésentes, avilissement et divertissement compensatoire. L’humanité qui ne peut plus assurer sa propre survie par manque de gouvernance personnelle, est prête à disparaître pour faire place à des robots sans foi ni loi. Pour en arriver là, il faut que le dernier humain accepte volontairement de se faire ficher, échangeant son nom et son histoire par un signe anonyme. Ainsi, ce sera la plus belle réussite: passer de la créature de Dieu à un quelconque être venu de nulle part, même pas des étoiles. Et surtout, qui va perdre son libre-arbitre pour être totalement soumis.
Plusieurs ont été engagés à ce projet, et ce, depuis des années. Par toutes sortes de passes, on a voulu endormir le dernier humain. Et ils ont maintenent une carte majeure pour y arriver et gagner les derniers récalcitrants . Pour ce, changeons de scène et prenons de nouveaux acteurs, tels les banques elles-mêmes, les différents Services d’État, avec un autre scénario. Il y aura de nombreux figurants qu’il faudra diriger. Le travail sera énorme et mené de main de maître mais facilité par l’intelligence artificielle, l’ordinateur quantique, la 5G, les caméras de surveillance et surtout une puce sous cutanée que tous auront. C’est du moins ce que le Forum Économique Mondial aimerait, selon un plan précis et déjà diffusé, question de montrer sa puissance et de faire peur.
Déjà, le cartel bancaire nous prépare à un changement de paradigme d’envergure qui lui sera pleinement profitable. Sous prétexte de ‘’moderniser’’ leurs outils rendus désuets et de les remplacer par de plus performants, il va falloir se tourner vers l’identification digitale ou numérique. Chacun aura son propre numéro qu’il pourra utiliser dans toutes ses actions, transactions, démarches, en banque et ailleurs. Et bien sûr, comme ce sera un système intégré, y compris les objets familiers ‘’connectés’’, plusieurs auront accès à d’autres informations vous concernant: santé, investissements, déplacements etc… Dans ce contexte global, il nous faut envoyer un message clair et sans équivoque à nos gouvernements, à tous leurs alliés. Nous ne voulons pas être soumis et dociles.
Si chacun allait retirer ses avoirs liquides des banques pour les utiliser en temps voulu et selon ses propres projets ? Ce pourrait être un commencement. Que diriez-vous si vous pouviez fermer certains de vos prêts qui sont devenus trop lourds à assumer ? Ce pourrait être le prix à payer pour cesser nos travaux forcés. Ce ne sera pas automatique ni facile mais nous finirons bien par travailler par et pour nous-mêmes. En ce sens, le programme Nesara Gesara, s’il est appliqué intégralement, sera un pas de géant vers cette libération.
Mais avant tout, il est d’abord essentiel de distinguer entre nos désirs et nos réels besoins. Car, la propagande et le crédit sont des armes très efficaces pour nous amener loin de notre intérêt mais esclaves de leurs intérêts. L’assistanat est à un point tel que nous dépendons pour une bonne part de l’État pour assurer plusieurs de nos activités. La population a un pouvoir puissant à condition d’en user et de ne pas céder à leurs chantages. Ne donnons notre consentement qu’à nous-mêmes. De fait, il serait bon et salutaire de combattre le seul ennemi invisible que nous avons, celui qui est caché en nous: nos pensées, nos désirs, nos actions qui ne sont pas conformes à notre véritable nature. Et si nous nous en éloignons, à la recherche de tant de chimères, nous allons vers les bas-fonds de notre véritable essence, de notre histoire sacrée.
‘’Si je suis seul à rêver, ce ne sera qu’un rêve. Mais si on est des millions, ce sera une réalité’’ (John Lennon). Et comme disait Martin Luther King: ‘’ Le noirceur ne peut vaincre la noirceur, seule la lumière le peut.’’ Allons donc vers la lumière.
Le Fou Du Village