les dieux et DIEU

Si l’on se persuade, preuves de plus en plus pressenties et  révélées,  que la terre n’existait pas qu’il  y avait déjà des mondes, des êtres qui interagissaient entre eux. Que certains avaient surtout axé leur développement sur la science et la technologie, que d’autres étaient davantage spirituels ou d’autres, enfin, avaient réussi une synthèse harmonieuse des deux modes de vie, dans une science avec conscience. Compte tenu de ce qui précède, on pourrait affirmer hors de tout doute que la 5D et la 5G seraient vraiment obsolètes pour eux. Le temps linéaire n’existerait pas, seulement un éternel présent. Enfin, pour tout cela et plus encore, ils seraient considérés comme des dieux à nos yeux. Mais, qu’en est-il  ?

Dans les annales du début de la terre, il est dit que des ‘’techniciens’’ venus d’ailleurs ont initié une cueillette de données concernant cet espace naissant. Ils prirent alors des échantillons de l’air, de l’eau et du sol pour envoyer ces observations à un centre d’analyse qui a donné, après coup, des suggestions d’implantation sur les plans minéral, végétal et animal. Ces ‘’jardiniers de la terre’’ ont mis le temps nécessaire pour faire un vrai jardin, par essais et ajustements. En ce qui concerne l’homme, ils ont considéré l’homo erectus pour le faire évoluer à l’homo sapiens sapiens par des manipulations génétiques et un métissage, car certains de ces visiteurs ont décidé de s’installer définitivement ici. Dès lors, parmi les  chercheurs contemporains, certains  affirment que nous sommes tous, les humains, enfants des étoiles. Voilà un aspect méconnu de notre histoire commune à tous et toutes.

Pour cela et bien d’autres raisons, il s’est développé chez  l’Homme l’archétype d’une expérience religieuse qui réponde  à son désir de dépassement, à la nécessité d’une vision verticale de sa destinée et non seulement d’un quotidien horizontal avec un temps linéaire, des routines qui deviennent lassantes. Si les religions organisées ont fini par s’imposer souvent tyranniquement, la spiritualité, elle, a proposé des voies individuelles pour approcher le divin. Dieu ne serait connaissable que par les réalités de l’expérience qui, elle, représenterait la mesure de l’individu dans son aptitude à percevoir les réalités spirituelles et divines, les vérités réelles et éternelles. On pourrait ainsi connaître (naître avec) Dieu sans le comprendre, sans un enseignement intellectuel. Cela doit consister dans l’expérience personnelle des croyants individuels.

Bien sûr, Dieu est Esprit. Son nom divulgué à Moïse est: ‘’Je suis ce que je suis’’. Mais ce pourrait tout aussi bien être: ‘’J’étais ce que j’étais’’ ou ‘’Je serai ce que je serai’’,  en même temps dans un éternel présent, sans passé ni futur. En cela, Il est ‘’subsistant’’ mais pas existant. Il est indépendant, détaché, un absolu. Les êtres apparents et sensibles seraient des participations de son Être. Il s’agirait d’une structure fractale, car il y aurait une présence divine au cœur de l’Homme. Dieu est présenté comme étant la Source-Centre Première  du Paradis, le Créateur Universel. Mais la désignation de Père Céleste présente l’expérience de connaître Dieu et pour montrer qu’il y a une confraternité de tous les hommes. Le Dieu  des univers règne sur l’immense création mais c’est le Père Céleste qui envoie son Esprit habiter notre pensée et notre conscience. Toutes les créations de tous les mondes sont en harmonie avec leurs créateurs et expriment la révélation de Dieu, l’Être Créateur. Enfin, c’est en observant  la ‘’divinité’’ de la vie du Maître Jésus que nous pouvons approcher Dieu dont il est, était et sera la révélation incarnée. Rassurant devant le chaos actuel. 

Le fou du village